Nous traversons à pied la fontière pour passer au Cambodge et après nous être un peu fait plumer par le chauffeur de taxi, nous montons dans un bus assez usagé pour parcourir les 350 kms qui nous séparent de Phnom Penh. Le trajet est interminable, encore plus que d'habitude et au bout de 7h30 nous arrivons enfin dans la capitale cambodgienne, au terme d'une route où la chaussée est particulièrement défoncée à la fin de la saison des pluies: des piscines d'eau sur la route qui ressemble bien plus souvent à de la piste.
Phnom Penh va nous enchanter avec son atmosphère tranquille et si différente de ses homologues asiatiques. Ici pas de frénésie, pas de gros immeubles modernes, on pourrait même se croire encore dans le film Indochine, les gros 4x4 en plus. Il n'y a pas de système d'évacuations des déchets efficace, ce qui laisse de "bonnes" odeurs.
La gare routière et son unique bus.
La route ou plutôt la piste...
Chargement optimal...
Nous arrivons a Phnom Penh pour les 60 ans de la commémoration de l'indépendance, défilé militaire et feux d'artifice.
Même ici on connait la potion magique.
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| Noël avant l'heure |
Notre moyen de locomotion préféré avec clim naturelle: le tuk tuk
Le musée national avec son jardin très méditatif.
Circulation à la sauce khmer
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